Avant Paint it Blank s'appelait simplement Blank. L'état civil a changé en 2018.
Paint it Blank est un duo de peinture.
Paint it Blank
32, Rue de la capsulerie
93170 Bagnolet
93170 Bagnolet
José Cardoso : +33 615 39 09 18 Jose@paintitblank.com
Alain K : +33 611 43 60 97 alain@paintitblank.com
Alain K : +33 611 43 60 97 alain@paintitblank.com
Présentation
Paint it Blank, c’est un duo. Alain K et José Cardoso.
Officiellement :
Un duo de peintres qui peignent à deux.
Ce sont deux individus.
Pas toujours d’accord.
Ce sont deux univers, deux approches de l’art contemporain, deux approches de la peinture deux approches de la vie.
Avec ces paramètres, produire un tableau ne coule pas de source.
Paint it Blank travaille en confrontation.
Parfois un tableau se fait en 10 minutes par un passage d’une main à l’autre
Parfois c’est l’intervention d’un seul des deux qui est jugée par les deux suffisante et un tableau est alors déclaré terminé, validé.
Parfois il faut des mois.
Et souvent, la plupart du temps un tableau est la composition de plusieurs pièces.
L’assemblage
L’assemblage se fait lors de séances dites de montage, où les pinceaux restent au repos.
Une fois une pièce peinte, quelle que soit sa taille, elle est examinée.
Elle peut repartir en chantier, elle va alors dans le tas « en chantier ».
Elle peut être recadrée.
Elle finit en général dans la catégorie à assembler.
Cela s’appelle le tas.
Le tas
Techniquement le tas est multiple.
Séparé en formats : petits, moyens, grands, bande, carrés...
Séparé en genre : figuratif, abstrait, titre.
Le tas ne désemplit pas.
C’est source d’angoisse parfois.
L’assemblage se fait en tapant dans le tas.
Il se fait sur les critères de couleur, de format, mais aussi de sens.
Les protocoles
Paint it Blank travaille beaucoup par protocoles, séries, work in progress.
On peut retrouver les principaux sur ce site internet (Protocol works).
PArfois Paint It Blank organise des performances d'atelier, filmées.
On peut retrouver ces performances d'ateliers dans le journal de Paint it Blank.
Autres techniques, méthodes utilisées par paint it Blank :
Les titres
La plupart des tableaux de Paint it Blank sont titrés, d'aucuns vont même dire que leur peinture est bavarde.
Les titres sont en général trouvés séparément des peintures qu'ils accompagnent/illustrent.
Il y a des listes de titres (sur carnet d'abord, sur fichiers stockés sur internet depuis quelques années), titres glanés au hasard des lectures, de l'écoute de musique...
Ces titres sont ensuite proposés face à des peintures déjà réalisées, et parfois le mariage se fait. Des significations inenvisageables au départ sont alors découvertes.
On est entre le cadavre exquis des surréalistes, le cut up de Burroughs et le grand n'importe quoi (assumé par Paint it Blank)
La cire
Il y a 10 ans Paint it Blank travaillait beaucoup avec du papier de soie et de la cire.
Sur un fond peint, des couches de papier de soie étaient appliquées à l’aide de cire passée au fer, rendant le papier de soie transparent.
L’assemblage se faisait alors comme pour des filtres photoshop.
L’utilisation du papier de soir permettait de peindre indifféremment à l’endroit et à l’envers.
C’est par cette pratique de superposition qu’est apparu la façon de procéder par confrontation de plusieurs pièces.
Paint it Blank a mis depuis la pratique de la cire en sommeil, mais elle pourrait ressurgir.
L’empreinte
Au départ, Paint it Blank travaillait la matière et peignait beaucoup à la truelle.
Le protocole à l’époque était de charger en peinture pour ensuite recouvrir de pigments ou toner d’imprimante.
Une feuille de papier était peinte, afin ensuite de la poser sur une autre feuille pour imprimer celle-ci. La première feuille (empreinte) représentait alors le sujet final, mais en inversé.
Ce détail est important quand il s’agit de texte, ; qui se retrouvait alors écrit à l’envers pour être imprimé à l’endroit.
Les Paint it Blank ont à cette époque perfectionné leur technique d’écriture à l’envers (avec encore parfois des accidents sur les N et les Z).
Ces empreintes au départ était destinées à ne pas être retravaillées, mais c’est devenu un jeu, les Paint it Blank ont fini par autant s’y intéresser.
Paint it Blank, c’est un duo. Alain K et José Cardoso.
Officiellement :
Un duo de peintres qui peignent à deux.
Ce sont deux individus.
Pas toujours d’accord.
Ce sont deux univers, deux approches de l’art contemporain, deux approches de la peinture deux approches de la vie.
Avec ces paramètres, produire un tableau ne coule pas de source.
Paint it Blank travaille en confrontation.
Parfois un tableau se fait en 10 minutes par un passage d’une main à l’autre
Parfois c’est l’intervention d’un seul des deux qui est jugée par les deux suffisante et un tableau est alors déclaré terminé, validé.
Parfois il faut des mois.
Et souvent, la plupart du temps un tableau est la composition de plusieurs pièces.
L’assemblage
L’assemblage se fait lors de séances dites de montage, où les pinceaux restent au repos.
Une fois une pièce peinte, quelle que soit sa taille, elle est examinée.
Elle peut repartir en chantier, elle va alors dans le tas « en chantier ».
Elle peut être recadrée.
Elle finit en général dans la catégorie à assembler.
Cela s’appelle le tas.
Le tas
Techniquement le tas est multiple.
Séparé en formats : petits, moyens, grands, bande, carrés...
Séparé en genre : figuratif, abstrait, titre.
Le tas ne désemplit pas.
C’est source d’angoisse parfois.
L’assemblage se fait en tapant dans le tas.
Il se fait sur les critères de couleur, de format, mais aussi de sens.
Les protocoles
Paint it Blank travaille beaucoup par protocoles, séries, work in progress.
On peut retrouver les principaux sur ce site internet (Protocol works).
PArfois Paint It Blank organise des performances d'atelier, filmées.
On peut retrouver ces performances d'ateliers dans le journal de Paint it Blank.
Autres techniques, méthodes utilisées par paint it Blank :
Les titres
La plupart des tableaux de Paint it Blank sont titrés, d'aucuns vont même dire que leur peinture est bavarde.
Les titres sont en général trouvés séparément des peintures qu'ils accompagnent/illustrent.
Il y a des listes de titres (sur carnet d'abord, sur fichiers stockés sur internet depuis quelques années), titres glanés au hasard des lectures, de l'écoute de musique...
Ces titres sont ensuite proposés face à des peintures déjà réalisées, et parfois le mariage se fait. Des significations inenvisageables au départ sont alors découvertes.
On est entre le cadavre exquis des surréalistes, le cut up de Burroughs et le grand n'importe quoi (assumé par Paint it Blank)
La cire
Il y a 10 ans Paint it Blank travaillait beaucoup avec du papier de soie et de la cire.
Sur un fond peint, des couches de papier de soie étaient appliquées à l’aide de cire passée au fer, rendant le papier de soie transparent.
L’assemblage se faisait alors comme pour des filtres photoshop.
L’utilisation du papier de soir permettait de peindre indifféremment à l’endroit et à l’envers.
C’est par cette pratique de superposition qu’est apparu la façon de procéder par confrontation de plusieurs pièces.
Paint it Blank a mis depuis la pratique de la cire en sommeil, mais elle pourrait ressurgir.
L’empreinte
Au départ, Paint it Blank travaillait la matière et peignait beaucoup à la truelle.
Le protocole à l’époque était de charger en peinture pour ensuite recouvrir de pigments ou toner d’imprimante.
Une feuille de papier était peinte, afin ensuite de la poser sur une autre feuille pour imprimer celle-ci. La première feuille (empreinte) représentait alors le sujet final, mais en inversé.
Ce détail est important quand il s’agit de texte, ; qui se retrouvait alors écrit à l’envers pour être imprimé à l’endroit.
Les Paint it Blank ont à cette époque perfectionné leur technique d’écriture à l’envers (avec encore parfois des accidents sur les N et les Z).
Ces empreintes au départ était destinées à ne pas être retravaillées, mais c’est devenu un jeu, les Paint it Blank ont fini par autant s’y intéresser.